« Tell Me Why I Do Like Mondays » with BALIMURPHY Unplugged
Monday 18 July 2011 at 10pm:
« Tell Me Why I Do Like Mondays » with
BALIMURPHY Unplugged
(Folk Music)
« Best Show – Octaves 2009 »
★ ★ BaliMurphy récompensé « Meilleur Spectacle » aux Octaves de la musique 2009 ★ ★
Le paradoxe entre la joie et la force de vivre d’une part, la futilité de l’existence d’une autre -puisque l’on finira bien le crâne entre les genoux- : voilà sans doute la raison d’être du groupe et de cet album. Des mois, des années de rencontres artistiques, humaines, de bonheurs nostalgiques et de désespoirs heureux arpentent les routes de ces chansons.
Elles sont un aboutissement, bien sûr, mais aussi un point de départ. Parce que les vies des uns ressemble furieusement à celles des autres, et parce qu’il y en aura encore bien d’autres après nous. Parce que le futur nous ramène au passé, que les musiques sont infinies, et qu’il y a cent planètes qui nous attendent.
Il n’y a rien à dire qui n’ait été dit. Alors, rendons hommage à la poussière.
« Tell Me Why I Do Like Mondays » with BALIMURPHY Unplugged
Tuesday 19 July 2011
Live session at 5pm – Free Entrance
Monday 18 July 2011 at 10pm:
« Tell Me Why I Do Like Mondays » with
BALIMURPHY Unplugged
(Folk Music)
« Best Show – Octaves 2009 »
★ ★ BaliMurphy récompensé « Meilleur Spectacle » aux Octaves de la musique 2009 ★ ★
Le paradoxe entre la joie et la force de vivre d’une part, la futilité de l’existence d’une autre -puisque l’on finira bien le crâne entre les genoux- : voilà sans doute la raison d’être du groupe et de cet album. Des mois, des années de rencontres artistiques, humaines, de bonheurs nostalgiques et de désespoirs heureux arpentent les routes de ces chansons.
Elles sont un aboutissement, bien sûr, mais aussi un point de départ. Parce que les vies des uns ressemble furieusement à celles des autres, et parce qu’il y en aura encore bien d’autres après nous. Parce que le futur nous ramène au passé, que les musiques sont infinies, et qu’il y a cent planètes qui nous attendent.
Il n’y a rien à dire qui n’ait été dit. Alors, rendons hommage à la poussière.