The Casimir Liberski Quartet
Casimir Liberski, piano
Shoko Igarashi, saxophone
Jasen Weaver, double bass
Gaspard Sicx, drums
Casimir Liberski est né à Bruxelles en 1988. Il s’est investi très tôt dans la musique. Il reçoit son premier piano à 5 ans et se plonge tout de suite corps et âme dans l’étude de cet instrument. Très vite il apprend à transcrire les morceaux qu’il aime jouer d’oreille puis il se lance dans la composition. Dès qu’il en a la possibilité, il joue avec d’autres musiciens et forme ainsi son premier trio en 2002 à l’âge de 14 ans. Il suit à la fois des cours de piano Jazz et de piano classique mais c’est surtout en autodidacte acharné qu’il crée, à cette époque, sa propre voie. Tout en poursuivant sa scolarité, il commence une carrière de jeune pianiste. Il est récompensé en 2004 par « l’Octave de la musique, Révélation 2003-2004 », et signe la même année la musique originale de «Bunker Paradise» le premier long métrage de son père, Stefan Liberski. En 2006, il remporte le concours pour jeunes musiciens de jazz organisé par la commune d’Ixelles et Les Lundis d’Hortense durant le Brussels Jazz Marathon. Il y décroche aussi le prix du public et celui du meilleur soliste. En 2006, la Fondation Belge Spes, qui soutient les artistes depuis plus de 20 ans, lui octroie une bourse pour aller suivre les enseignements de quelques grands maîtres du Jazz à New York, ainsi Ornette Coleman avec qui il noue une amitié quasi filiale. De ce musicien atypique et passe-murailles, il retiendra une vraie philosophie, une liberté de penser, une acuité transversale et une sensibilité en alerte, aux aguets du temps. Transgresser les codes avec brio, maintenir de l’humour et de la légèreté dans les compositions, est le legs précieux qu’il a le sentiment d’avoir reçu alors en héritage. A 18 ans, Casimir Liberski part étudier à Boston, au prestigieux Berklee College of Music grâce à une bourse exceptionnelle, la « Presidential Scholarship ». Ce cycle d’études s’achève en mai 2010 et Casimir Liberski va alors vivre à New York. Il se lie avec des musiciens comme Brad Mehldau, Masabumi Kikuchi, Danilo Perez, Craig Taborn, Jason Moran avec lesquels il approfondit son jeu. Il collabore avec Charnett Moffett, Stanley Jordan, Rodney Holmes, Denardo Coleman, Jeff Tain Watts and bien d’autres encore sur divers enregistrements et lors de tournées. Casimir Liberski sort plusieurs disques sous son nom et sur son propre label indépendant Dalang ! Records. Il écrit la bande-original du film « Tokyo Fiancée » en 2014 et remporte le 3eme prix au concours de piano solo du Montreux Jazz Festival de 2016. En 2019 sort « Cosmic Liberty » (Ropeadope Records USA) sa « pièce majeure » jusqu’à aujourd’hui. L’album a été enregistré à New York aux côtés d’une des grandes stars de la batterie d’aujourd’hui, Matt Garstka et de l’exceptionnel bassiste-compositeur Louis de Mieulle. Casimir Liberski réside actuellement à Bruxelles où il travaille et se produit régulièrement.
The Casimir Liberski Quartet
Sunday 01 March 2020
Live session at 5pm – Free Entrance
Casimir Liberski, piano
Shoko Igarashi, saxophone
Jasen Weaver, double bass
Gaspard Sicx, drums
Casimir Liberski est né à Bruxelles en 1988. Il s’est investi très tôt dans la musique. Il reçoit son premier piano à 5 ans et se plonge tout de suite corps et âme dans l’étude de cet instrument. Très vite il apprend à transcrire les morceaux qu’il aime jouer d’oreille puis il se lance dans la composition. Dès qu’il en a la possibilité, il joue avec d’autres musiciens et forme ainsi son premier trio en 2002 à l’âge de 14 ans. Il suit à la fois des cours de piano Jazz et de piano classique mais c’est surtout en autodidacte acharné qu’il crée, à cette époque, sa propre voie. Tout en poursuivant sa scolarité, il commence une carrière de jeune pianiste. Il est récompensé en 2004 par « l’Octave de la musique, Révélation 2003-2004 », et signe la même année la musique originale de «Bunker Paradise» le premier long métrage de son père, Stefan Liberski. En 2006, il remporte le concours pour jeunes musiciens de jazz organisé par la commune d’Ixelles et Les Lundis d’Hortense durant le Brussels Jazz Marathon. Il y décroche aussi le prix du public et celui du meilleur soliste. En 2006, la Fondation Belge Spes, qui soutient les artistes depuis plus de 20 ans, lui octroie une bourse pour aller suivre les enseignements de quelques grands maîtres du Jazz à New York, ainsi Ornette Coleman avec qui il noue une amitié quasi filiale. De ce musicien atypique et passe-murailles, il retiendra une vraie philosophie, une liberté de penser, une acuité transversale et une sensibilité en alerte, aux aguets du temps. Transgresser les codes avec brio, maintenir de l’humour et de la légèreté dans les compositions, est le legs précieux qu’il a le sentiment d’avoir reçu alors en héritage. A 18 ans, Casimir Liberski part étudier à Boston, au prestigieux Berklee College of Music grâce à une bourse exceptionnelle, la « Presidential Scholarship ». Ce cycle d’études s’achève en mai 2010 et Casimir Liberski va alors vivre à New York. Il se lie avec des musiciens comme Brad Mehldau, Masabumi Kikuchi, Danilo Perez, Craig Taborn, Jason Moran avec lesquels il approfondit son jeu. Il collabore avec Charnett Moffett, Stanley Jordan, Rodney Holmes, Denardo Coleman, Jeff Tain Watts and bien d’autres encore sur divers enregistrements et lors de tournées. Casimir Liberski sort plusieurs disques sous son nom et sur son propre label indépendant Dalang ! Records. Il écrit la bande-original du film « Tokyo Fiancée » en 2014 et remporte le 3eme prix au concours de piano solo du Montreux Jazz Festival de 2016. En 2019 sort « Cosmic Liberty » (Ropeadope Records USA) sa « pièce majeure » jusqu’à aujourd’hui. L’album a été enregistré à New York aux côtés d’une des grandes stars de la batterie d’aujourd’hui, Matt Garstka et de l’exceptionnel bassiste-compositeur Louis de Mieulle. Casimir Liberski réside actuellement à Bruxelles où il travaille et se produit régulièrement.